Chapitre 3 : a nous deux Sratch !
Lorsque j’entra dans les appartement des Sratch,
je fût ébloui pour tous l’or et les pierres précieuses entreposée dans cette vaste
pièce, partout, il y avait statue en or, collier de rubis, bague de diamants,
et plein d’autre chose que tout le monde voudrait s’offrir ! Mais il ne
fallait pas que je reste là dessus, car devant moi était assis Sratch, c’était
un homme imposant, assis sur un siège en or incrusté de diverses pierres précieuses.
On ne voyait pas son visage, il était caché derrière un masque d’or avec un
diamant énorme sur le front. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il
était habillé très simplement, une vulgaire chemise en soie blanche ouverte et
un pantalon en jeans basique.
« Qui es-tu et que viens-tu faire ici ?
Me demandait Sratch. Je n’embauche plus tu sais …-Je ne suis pas là pour que tu m’embauche Sratch !
Répondis-je. Si je suis ici c’est pour te faire payer les abominations que tu
as fait subir à ce village en le pillant ses trois dernières années !-Oh ! Un chevalier au grand cœur ! Ahah,
saches que tu n’es pas le seul à vouloir me terrasser … La jalousie engendre
bien des violences … Ceux qui ont voulut m’affronter ne sont jamais redescendus
au village !-Moi j’y redescendrais avec ta tête !-Bien ! *il se leva* Et bien dans se cas …
BATTONS NOUS ! Il sortit grand sabre et s’élançât sur moi. Malgré
son imposante taille il se déplaçait rapidement, j’eus juste le temps de l’esquivé !
Je sortis mes sabres et tentas de l’avoir avec un coup aérien. Je prit appui
sur une de ses statues afin de m'élever haut dans la salle, une fois assez haut
je positionnais mes deux sabres de façon a imiter le bec d’un oiseau, je me mis
a tourner sur moi-même avant de descendre en piquer sur lui. Il esquiva mon
attaque.
-Tu es assez fort pour un gamin ! Disait-il-Le gamin, disais-je en retirant mes sabres
plantés dans le sol en bois, il va te montrer qu’il sait ce servir d’un sabre !-Je suis impatient de voir sa ! dit-il avec
un sourire sadique Il donna un grand coup de sabre au torse que je
pus parer tant bien que mal avec mes sabres. Il avait une force étonnante, pas
étonnant avec un sabre de cette taille. Cependant, l’or massif est lourd, il
fallait que j’en tire un avantage ! je le laissa m’attaquer sans riposter
afin d’observer ses mouvements et au bout d’une dizaine de coup, je le vit qui commençât
a souffler. Il avait beau être fort, cela ne suffisait pas. Je vit aussi qu’il mettait un certain de
temps avant de frapper, le temps de remettre son sabre dans la position
adéquate pour l’attaque. C’était mon ouverture ! Je lui fis frapper un
grand au sol et je courus vers lui et lui tailladas la jambe droite.
-AAAaah ! Ordure, comment as-tu osé ? Tu
va me le payer ! Disait-il en se tenant la jambe. Il commençât a frapper dans tous les sens en
cassant tout dans la pièce, sans faire attention, aveuglé par la douleur et la
colère. Je profita de cette opportunité pour
lui atteindre l’autre jambe. Il était a genou mais continuai quand même de sa
battre, c’était pathétique. Il ne voulait pas s’avouer vaincu ! Je le
finis en lui tailladant sa main droite qui tenait son sabre afin de me donner
libre accès à son torse que je taillada vivement ! S’en était fini de la
domination de Sratch !
Une fois le combat terminé, j’allais voir les
habitants de la ville afin de leurs annoncer la nouvelle. Au début, peu d’entre
aux ne m’avaient cru, ils croyaient que c’était un guet apens de Sratch. Mais
avec le temps et l’aide de la dame que j’avais secourut, ils prirent pioches,
bèches et autres instruments de paysans et ils allèrent voir. Une fois rentré,
ils étaient étonnés du carnage que j’avais fait. Ensuite ils montèrent tous
dans les appartements de Sratch et ils le virent, gisant dans son propre sang.
-Vous me croyez maintenant ? Disais-je. Tous
ce qu’il y a dans cette pièce vous appartiennent désormais ! Ils se jetèrent tous sur le butin qu’il y avait
dans la pièce. Je commençât a m’en aller lorsque une main se posa sur mon
épaule. C’était celle du maire de la ville.
-Valeureux étranger, afin de vous remercier, nous
tenons a vous offrir ceci. Dans se sac sont réuni 5 000 berrys. Je sais c’est
peu pour ce qu’il y a dans la pièce, mais nous avons besoin de rebâtir la ville
alors vous comprenez ?-Bien sur, merci encore ! Disais-je avant de
reprendre la mer . [FIN]